« ESTEGIANNI, FLAVIO »
jensen ackles

Je m'appelle Flavio Estegianni. J'ai vingt six ans, et je viens de Londres, en Angleterre. Je suis ici parce que la femme qui porte mon enfant y est, et je pense que c'est un endroit paradisiaque.. En général, on dit de moi que je suis courageux, téméraire, fougueux, adulte, raisonné, sensible, artiste, beau, bavard, réconfortant, paternel, aimant, amoureux, posé, souriant, dynamique, colérique, confiant,croyant.. Tout ça, c'est bien, mais ce que je vais vous raconter maintenant, c'est mieux. HISTOIRE - Histoire libre mais il rentre dans le groupe PLACID ATTIUDE. - Il est marié depuis deux ans (sa femme est un scénario à créer). - Il rêve d'avoir 6 ou 7 enfants. - Il n'a jamais été violent et n'a jamais touché à la drogue (je précise pour les moins imaginatifs d'entre vous). - C'est un Londoniens qui connait peut l'Italie. - Lui et sa femme on emménagé dans ce pays pour être à proximité du couvent dans lequel se trouve leur mère porteuse (et c'est madame qui ne peut pas avoir d'enfant xD)

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JULIETTE MALAPARTE C'est le mari de la femme qui l'a contactée pour être sa mère porteuse. Au début, c'est surtout avec celle-ci que Juliette discutait. Et puis, le couple souhaitant avoir un enfant conçut de manière naturelle, ils ont couché ensemble. Une nuit difficile. Pour tous les deux. Mais ça a fonctionné. Aujourd'hui enceinte, Flavio se montre très attentionné envers elle. Trop puisqu'elle commence à s'attacher, à l'aimer profondément. Elle ignore ce qu'il en pense. Elle ignore que, lui aussi, l'aime plus qu'il ne le devrait. QUELQUES ANECDOTES « Alors c'est d'accord ? » « C'est d'accord. » Le marché est passé. Ils se serrent la main. La femme ose même poser ses lèvres sur sa joue. Son mari, arbore un grand sourire. « Merci. Merci beaucoup. » Ils ont enfin trouvé leur mère porteuse. ________________ « On... On peut éteindre la lumière ? » Sa voix est entrecoupée par la crainte. Compréhensif, il acquiesce. Alors, elle étend son corps nu sur le lit. Le froissement des draps fait tomber ses paupières. Difficilement, elle respire. Un souffle chaud sur son visage la réveille. « Je serai doux. » murmure t-il en baisant son front. ________________ « Ça ne va pas ? » Il s'agenouille près d'elle. « Un léger coup de déprime. » Elle relève la tête, tente d'étirer sa bouche. « Les hormones sans doute. » La grossesse la rend radieuse. Malgré les larmes. Non. A cause des larmes. Il est touché, ébranlé par cette demoiselle qui sacrifie un morceau de sa propre personne, pour son couple. Pour lui. Il passe ses bras sur ses épaules et l'attirent contre sa poitrine. Ses doigts caressèrent tendrement son cou. « Ça va passer. »

Dernière édition par Napoleon D. Machiavel le Mer 16 Juin - 14:02, édité 6 fois