♣ PLACID ATTITUDE

« Et alors j'ai couru, couru comme jamais, couru comme si ma vie en dépendait, comme un paralytique dont le réveil dévore ses songes, comme la confiance devant la trahison, comme un gamin meurtri par l'amoureuse brutalité d'un père, comme la nuit après le jour... et le jour après la nuit. J'ai couru pour être libre, couru et encore, et encore, jusqu'à être épuisé, jusqu'à pouvoir hurler ma peine, jusqu'à pouvoir crever sur ce bord de route, abandonné, lynché, souffrant et humilié, jusqu'à pouvoir accueillir Dieu entre mes reins et qu'il me prenne, encore et encore. Ouais, j'ai couru comme on arpente la vie en découvrant, qu'à sortir de sa mère, ce n'est que rejoindre de putrides entrailles desquelles il faut se débattre pour espérer s'abreuver, rien qu'une fois, rien qu'une seule... d'autre chose que de son propre sang.
La morale de cette histoire ?... je m'suis fait baiser. »

On me compare souvent à un phénix - s'il existe seulement.

« On est et on demeure esclave aussi longtemps que l'on n'est pas guéri de la manie d'espérer. » ...DE L'ESCLAVE A LA PUTE, IL N'Y A QUE GABE. Présenter mon cul aux deux tiers de Naples ne m'a pas fait mal très longtemps. J’imagine que la métaphore vous fait marrer mais… vraiment, l’humiliation passe très vite, et presque aussitôt vient le plaisir. Et le désir, le souhait d’en avoir plus, plus souvent, plus encore, plus profond. Une sensation. Une drogue. Une perversion. Il s’agit d’une époque où ça portait tous les noms, plus divins que les autres. Plus c’était interdit, plus j’en jouissais. Et plus j’en jouissais, plus ça prenait le goût d’interdit. Quand tu quittes un bordel sophistiqué à l’âge de quinze ans pour un autre, sordide, malsain et fallacieux, où ton corps vaut six plus cher que ton intelligence, tu te prostituerais même pour un mars… et j’ai bien dû le faire pour quelque chose comme un bounty. De l’argent sale, qu’ils appellent ça. Mais quand ta bouche est pleine, crois-moi, il est propre à côté… « Je ne crois pas avoir raté une seule occasion d'être triste. » « Tout désespoir est un ultimatum à Dieu. » ★ ATTENTION ★ Pour plus de piment vous devrez placer ces trois mots dans votre essai de 30 lignes minimum : joute - pantalon - lèvres (les mots peuvent changer selon les semaines, n'hésitez pas à vérifier plusieurs fois).

bienvenue

Appia A. Giuseppe a écrit:

Excellent choix d'avatar.

J'avais pas vuuuuuuuuuuuuuuuuu.
MON DIEU MON DIEU MON DIEU *arrêt cardiaque* (on comprendra ici qu'aaron est mon dieu ultime).
Je crois que je ne te remercierai jamais assez d'avoir pris mon scénario, et le début de la fiche je l'aime tu n'y vas pas par quatre chemins et pour l'instant c'est exactement ce que j'avais imaginé pour Gabe :D MERCI ENCORE ! Et si tu as la moindre question à me poser, ma boîte MP (ou tout autre chose) est ouverte à tout moment ! Encore bienvenue, encore merci, encore je t'aime.
(comment passer de la fille qui déteste les groupies, à la plus groupie de toute. xD)

Bienvenue.

C'est parfait alors si tu fais pareil, je le redis encore hâte de voir la suite ! :D

Nemesis A. Romanov a écrit:

J'avais pas vuuuuuuuuuuuuuuuuu.
MON DIEU MON DIEU MON DIEU *arrêt cardiaque* (on comprendra ici qu'aaron est mon dieu ultime).
Je crois que je ne te remercierai jamais assez d'avoir pris mon scénario, et le début de la fiche je l'aime tu n'y vas pas par quatre chemins et pour l'instant c'est exactement ce que j'avais imaginé pour Gabe :D MERCI ENCORE ! Et si tu as la moindre question à me poser, ma boîte MP (ou tout autre chose) est ouverte à tout moment ! Encore bienvenue, encore merci, encore je t'aime.
(comment passer de la fille qui déteste les groupies, à la plus groupie de toute. xD)

Oui, franchement, AU-CUNE personnalité :P